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Marketing: La publicité sur Internet

Date de publication : 25/10/2005 , Date de mise à jour : 13/11/2005




I. La publicité sur internet
1.1. Les intérêts
1.2. L'internet poubelle ?
1.3. Standardisation et conformité
1.3.1. Les risques
1.3.2. Poids des publicités
1.3.3. Technologies des publicités
a. Le lien hypertexte
b. L'image statique
c. Médias riches (RichMedia) ou dynamiques
1.3.4. Les rotations
1.3.5. Expand
1.3.6. Son


I. La publicité sur internet

Au départ utilisé pour les sites d'éducation, gouvernementaux, le modèle commercial c'est vite adapté à l'Internet, comme il l'a fait sur les autres médias (TV, radio, journaux). Il en découle automatiquement tout un ensemble de principes concernant la publicité sur ce média un peu particulier. N'oublions cepdendant pas que le premier moyen de faire sa publicité sur Internet est d'avoir un site Internet :-). C'est le point d'entrée de l'information d'entreprise, de l'image de marque , de sérieux d'une entité, en bref une solution de promotion indispensable aujourd'hui.


1.1. Les intérêts

Les dérivés des matèriels publicitaires sont maintenant trés nombreux, avec différentes, formes, interactions, positions, cibles. Le but premier d'une publicité était initialement de générer du traffic, d'amener des visiteurs du site de l'annonceur, vers le site du publicitaire. Sont ensuite venus d'autres buts suite à l'émergence des sites commerciaux et des démarches de marketing web.
Par rapport aux autres médias comme la télévision, la radio, les magazines, les affiches dans les transports en commun, l'Internet permet de générer une relation acheteur/vendeur, client/fournisseur, demanière directe. Cette différence est possible grâce à l'interaction possible sur les publicités. Le visiteur "clic" sur la publicité qui l'interesse et arrive directement sur une page a contenu commercial, sur le site du publicitaire. On peut ainsi directement mesurer l'impact d'une campagne de publicité sur les visiteurs, et obtenir des chiffres commerciaux engendrés directement.

Pour inciter le visiteur à cliquer sur une bannière, il faut déja attirer son attention sur celle-ci. Ici réside l'une des premières difficultés: faire des publicités attirantes, clairement identifiables par rapport au contenu réel du site hôte. Leur conception, positionnement, format sont prévu afin de permettre de le différencier rapidement dés la fin du chargement de la page. Mesurer l'impact d'une publicité est l'exercice du marketing direct, qui pourra en fonction des statistiques de fréquentation du site hôte, des "clic-view", estimer la profitabilité d'une campagne.

Avantages:

  • La cible: les publicitaires peuvent mainentenant direcment atteidnre une certain cible en fonction des informations de sessions, de navigateur, de préférences. Géographie, langue, heure GMT, plateforme, browser. base de données est backbone du MD
  • Tracking: traquer les brands et preferences, pages accédées etc. Mesurer le nombre de clics sur 1 pub, le nombre d'achats ou laeds générés, ce qui est trés difficiel avec les autres médias
  • Deliverability et Flexibility: accessible 24h/24 7 365. Une campagne est matrisées et peut être lancée , mise à jour supprimer rapdeiemnt. Peut suivre l'évolution de la campagne quotidiennement (different papier) et faire des choix stratéiques en conséquence
  • Interactivité: le service est accessible directement (tele freeware, achat livre amzon)
  • Régie ou infrastructure de pub: traffic measurement (in-depth de l'activité publicitaire, comparaison possible), ciblage et personllaisation (améliorer le taux de clic de nb de relations), gestion de spubs (logisitq, placement, rotation, billing)


1.2. L'internet poubelle ?

C'est le constat évident que l'on peut faire de notre média préféré ces dernières années. Combien d'entre nous utilisent maintenant Mozilla Firefox pour un filtrage des Pop-up performant, pour éviter l'exécution de Javascripts intrusifs ?. Mais nous sommes, en notre qualité d'informaticiens et professionnels de l'information, mauvais juges. La majorité des personnes utilisant Internet pour chercher de l'information ou un média issu de l'internet (e-Mail, RSS, Newsletters etc.) ne sont pas des utilisateurs aguerris. L'information qui leur vient aux yeux est nouvelle, donc elle est, dans la plupart des cas, forcément bonne. La cible des publicités considérées comme "parasites" de l'internet est cette même cible qui choisi son FAI en fonction de sa publicité à la TV ou au CD de connexion gratuit fourni en supermarché. On ne parle pas ici de clivage intellectuel, mais d'habitude d'utilisation, de méconnaissance d'un domaine. Si j'ai envie de commencer l'escalade (dont je n'ai aucune notion) , j'acheterai ce que le vendeur me proposera, enrobé dans un discours commercial mielleux.

Donc, bien évidemment, les sites Internet sont devenus le terrain de prédilection des campagnes publicitaires, la zone de chalandise la plus vaste au monde. Pop-Up, images clignotantes, slogans accrocheurs, intrusion dans les E-mails, l'information ne doit plus transiter sans sa petite dose de publicité. Les E-mails sont signés par les FAI ou par le nom du produit antivirus qui les a scanné. Le sponsoring, le e-couponning, tous les moyens sont bons pour communiquer et tenter d'obtenir les 1% de retour jugés satisfaisants.

L'invasion des publicités était, comme pour tous les autres médias grand-public, inévitable, nécessaire vous diront certains économistes, pour le développement du média. Mais en regard de cet état de fait, il faut considérer que les publicités sur Internet doivent être standardisées. C'est également inévitable si l'ont veut conserver une vague notion de qualité, de compatibilité et de liberté. Certains organismes comme l'IAB (France) tentent d'établir par exemple une collection de formats publicitaires "standards" par leur taille, leur position, leur nature..

Les régies publicitaires doivent redoubler d'imagination pour créer des nouvelles publicités accrocheuses à ses clients. la généralisatin:pupularasaiotn Le haut débit type DSL permettront de créer des formats de meilleurs qualités graphique et délvrant un contenu informationel et promotionel plus grand. Les bandeaux extensibles, les bandeaux actualisés en temps réel, les boutons, les christmas-box (pour les événements particuliers), la publicité volante dite " out-of-box " (comme celle que découvre Jean, en arrivant au travail), ou encore les bandeaux à menu déroulant complètent la panoplie.

Autre tendance du moment ? Les " skyscrapers ", bandeaux verticaux façon " gratte-ciel " lancés par le site américain ZD Net en début d'année. Plus la taille est grande, plus les créatifs peuvent s'en donner à coeur joie. Les bandeaux d'animation Flash et les IMU (Instant Messaging Units) sont aussi très prisés : d'un poids inférieur à 40 kilo-octets, ils sont visibles par tous et très efficaces, comme tout dessin animé . " Ces formats, lancés chez nous en juillet, représentent déjà plus de 20 % de notre chiffre d'affaires " , explique François-Xavier Hussherr, de Wanadoo Régie. Une nouvelle manne qui aide les publicitaires à rester optimistes. " La publicité online a enfin trouvé son modèle économique ", assure Freddy Mini, vice-président Europe du site d'informations high-tech CNet. Rien d'étonnant lorsque l'on sait que ces créations font grimper le CPM (coût pour mille) jusqu'à 228 euros (hors vidéo), quand celui d'une bannière classique ne dépasse guère 10 euros en moyenne. L'atout des grands formats Grâce à l'explosion des nouveaux formats, la publicité online entrerait dans l'âge de maturité, jouant un rôle clé dans l'évolution de l'image des marques et dans la prédisposition à l'achat. L'IAB (Interactive Advertising Bureau) estime que les grands formats améliorent l'impact des messages publicitaires de 40 %, et que l'utilisation du format Flash accroît la notoriété de la marque de 71 %. Cet enrichissement de la relation entre le consommateur et la marque va aider à poursuivre l'arrivée des annonceurs traditionnels sur la toile ", explique son président Guillaume Buffet. De fait, ces nouvelles créations interactives semblent relancer l'intérêt des internautes. Mais elles ne sont pas multipliables à l'infini. A terme, la convergence avec les médias traditionnels est inévitable. Dans son étude Netimpact 2, l'IAB décortique l'efficacité du net dans un plan plurimédia : couplé avec la radio, la télévision ou la presse, l'apport du net sur l'image et la prédisposition à l'achat est démontré dans plus de 70 % des cas. " L'avenir du média internet passe par sa complémentarité avec les autres supports ", confirme Guillaume Buffet.


1.3. Standardisation et conformité


1.3.1. Les risques


1.3.2. Poids des publicités


1.3.3. Technologies des publicités


a. Le lien hypertexte

b. L'image statique

c. Médias riches (RichMedia) ou dynamiques

1.3.4. Les rotations


1.3.5. Expand


1.3.6. Son

Le son doit toujours être actioné par le visiteur, le déclencher automatiquement est trés intrusif. Le visiteur surpris peut ne jamais revenir. Il ne doit jamais etre mis en boucle une seule lecture suffis. Pour éteindre le son, un pcitogramme explicite ou un texte est obligatoire !. les gens vont se lasser. Le son à un poid !. Attention aux droits d'auteurs. · Le son doit être déclenché par l'utilisateur et jamais automatiquement. · L'insertion de son dans un fichier Flash ne peut être faite qu'à partir du deuxième cadre. · Si vous utilisez du son, l'élément créatif doit contenir un bouton d'activation/désactivation pour les utilisateurs. · Toutes les soumissions d'éléments créatifs doivent être accompagnées par défaut d'une bannière .gif ou .jpeg qui s'affichera sur l'écran des utilisateurs qui ne disposent pas d'Internet Explorer version 4.0 ou ultérieure. · Les animations sont limitées à 15 secondes et les boucles ne sont pas limitées au sein de ces 15 secondes. Utilisez les animations avec précaution : elles doivent être fluides ; utilisez des ralentis et des fondus. Les animations rapides avec des mouvements brusques sont très irritantes. Évitez de couper la page et d'envahir son contenu. · Les fichiers Flash nécessitent l'incorporation d'une commande FSCommand dans leur contenu. Pour obtenir des Flash guidelines, visitez le site advertising.msn.com. · Les éléments créatifs doivent avoir une bordure d'un pixel (le gris [#666666] ou le noir sont recommandés ; vous pouvez, toutefois, utiliser des couleurs qui distinguent bien la publicité du contenu.) · Le clic sur la bannière ouvre une nouvelle fenêtre dans le navigateur.

warning - Le son doit toujours être maitrisé par le visiteur - Déclencher le son de manière automatique est trés intrusif - Ne pas mettre l'extrait sonore en boucle
Publicités sépcialisés sur site spécialisé
intersticiel diff de overlayer !!! souvent la meme chose

Dégradation de la qualité rotation et capping

echange de bannière transitionnel

autopromotion marketing direct

Intrusion des publciités

Lourdeur des pages marketing mobile et nouveaux médias

conformité

btob et one to one

format pour marketing mobile

anmation, flash, sonore

marketing direct et opérationnel les technologies des pubs

sexe, érotisme et pornographie



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